Les cavités, comme les selfs, amplifient. Ne serait-il pas intéressant de placer les témoins dans une boîte lors des recherches ?
- Oui, une cavité amplifie comme un self, c'est exact à condition qu'un fil métallique pénètre dans la boîte ou que le volume de celle-ci soit exactement accordé sur le contenant (boîte à capacité variable par couvercle coulissant, ou à piston).
- Cependant vous obtiendriez une amplification réelle en plaçant vos témoins, pour les recherches, dans des étuis en bois ou en carton, à base et couvercle métallique percés d'un trou central... Mais vous allez redécouvrir un procédé vulgarisé par l'ingénieur Turenne.
J'ai entendu dire qu'il était possible d'accroître sa sensibilité radiesthésique par les couleurs. Est-ce exact et comment procéder ?
C'est exact en ce sens que par l'emploi de certaines couleurs convenables vous pouvez soit étendre votre sensibilité (dans l'espace, dans le temps) soit la rendre plus précise.
Le vert rend plus sensible à grande distance, même de nuit. Le bleu rend plus sensible dans le passé ou l'avenir. Le jaune apporte plus de précision. Le bleu foncé donne des réponses plus exactes, etc.
Chacun peut trouver facilement au pendule la couleur qui lui convient le mieux pour les recherches qu'il effectue habituellement. Cela, à l'aide du pendule promené lentement sur une boîte de crayons de couleur ou de pains d'aquarelle.
Quant à l'utilisation de la couleur, il suffit de porter sur soi, à un endroit sensible un disque de papier de la couleur voulue. L'endroit sensible est à chercher au pendule. C’est parfois sous l'un des pieds (entre la chaussure et le bas), sur le bras, dans la poche d’un vêtement, etc.
Il est souvent plus simple de se servir d'un pendule coloré. On en vend dans le commerce.
Lecture conseillée : Les couleurs dans la vie quotidienne.
Le vert rend plus sensible à grande distance, même de nuit. Le bleu rend plus sensible dans le passé ou l'avenir. Le jaune apporte plus de précision. Le bleu foncé donne des réponses plus exactes, etc.
Chacun peut trouver facilement au pendule la couleur qui lui convient le mieux pour les recherches qu'il effectue habituellement. Cela, à l'aide du pendule promené lentement sur une boîte de crayons de couleur ou de pains d'aquarelle.
Quant à l'utilisation de la couleur, il suffit de porter sur soi, à un endroit sensible un disque de papier de la couleur voulue. L'endroit sensible est à chercher au pendule. C’est parfois sous l'un des pieds (entre la chaussure et le bas), sur le bras, dans la poche d’un vêtement, etc.
Il est souvent plus simple de se servir d'un pendule coloré. On en vend dans le commerce.
Lecture conseillée : Les couleurs dans la vie quotidienne.
La recherche de matériaux radio-actifs, de minerais, comme ceux d'uranium, présente-t-elle quelque danger pour le radiesthésiste qui s'y livre ? Peut-il s'imprégner de radiations nuisibles ?
- En principe oui, il y a danger pour l'organisme du chercheur. Le fait de se syntoniser avec la radioactivité rend évidemment sensible à l'action de toute la radioactivité éparse dans l'air, dans le sol, dans les aliments, radioactivité qui tend à augmenter par suite du développement des applications de l'énergie atomique. Si l'on admet que l'organisme humain a acquis au cours des âges une certaine immunité à l'égard des radiations à faibles doses, on risque de contrarier cette défense en se rendant hypersensible aux radiations des matériaux radio-actifs.
- Remèdes éventuels ? Ne pas faire de trop longues recherches de matériaux radio-actifs. Ne pas dépasser une demi-heure. Marquer un temps de repos suffisant entre chaque recherche. Après chaque recherche, se désimprégner, arrêter la syntonie. Pour cela : ou bien se laver les mains à grande eau pendant une ou deux minutes, ou bien «pétrir» des deux mains une motte de terre fraîche (ou d'argile) que l'on jette après usage.
- Après, passer les mains au bâton de souffre et laver une dernière fois au savon et bien rincer
- Moyennant quoi, si l'on ne fait pas des recherches toute la journée, si on ne centre pas «sa sensibilité radiesthésique» sur la recherche de la radioactivité, les inconvénients restent dans des limites acceptables, et, comme vous le pensez, très variables suivant les individus.
Expériences de lecture sur plan
Récemment j'avais lu dans un journal, une lettre d'un sourcier que je ne connais pas du tout. Je ne me suis non plus jamais rendu dans la région où il demeure. Je saisis cette occasion de faire un test de radiesthésie purement mentale.
Sans aucune carte géographique, sans aucun plan, travaillant donc sans plan, me représentant dans l'esprit « un terrain », il me sembla qu'il devait y avoir là l'emplacement d'une source d'eau magmatique s'élevant d'une grande profondeur, à 300-400 yards (1 yard = 0,914 mètre)) au sud-est de son forage, et d'une section circulaire de 3-4 yards.
Je lui écrivis en lui donnant ces détails. Il me répondit qu'il avait repéré la source, à 400 yards au sud-est de sa maison et qu'elle avait 4 yards de diamètre.
Je cherchai ensuite un possible gisement de pétrole dans son voisinage. Je crus en trouver un à environ 250 yards de sa maison, au sud, étagé sur cinq nappes. Je lui adressai ces renseignements avec quelques informations sur la façon de se servir de témoins. Il me répondit qu'il utilisait un pendule creux chargé de pétrole, qui oscillait d'avant en arrière jusqu'à ce qu'il arrive à 250 yards et qui alors se mit à girer rapidement. Il fut capable de repérer les cinq nappes.
Je pris alors seulement une carte de cette région et cherchai un gisement de pétrole dans le rayon de sa ville. Je localisai trois lieux d'importance variable, et en différentes nappes. Je lui dis qu'il semblait qu'il y ait un large gisement à huit nappes, à environ un mile (1609 mètres) d'une ligne de chemin de fer, au croisement, d'un ruisseau d'eau salée, au Nord-Ouest de ce chemin de fer. Il me répondit qu'il avait pu se rendre dans cette région et qu'à un mile et vingt yards il tomba sur le gisement à huit nappes. Il me donna la profondeur probable de chaque nappe et le pourcentage de pétrole de chacune avec sa pression estimée.
Depuis ce sourcier travaille toujours sur plan avant d'aller sur place, ce qui lui donne des résultats précis.
Sur plans de propriété
Il y a quelques années, une relation m'envoie un plan de sa propriété, avec comme repères une porte et un arbre. Et il me demande de lui indiquer où il y avait de l'eau. Je travaille sur ce plan et lui indique l'emplacement par rapport à chacun des points donnés, lui disant que l'eau semblait couler vers le nord. Il me répond que lui-même et d'autres sourciers avaient localisé de même et que tout concordait. Il me dit aussi qu'un des sourciers avait trouvé la veine sous sa maison et qu'elle semblait couler vers le nord. Je n'étais jamais allé dans cette région.
Un autre plan de propriété me fut envoyé d'une région inconnue de moi avec prière d'indiquer l'emplacement de l'eau. Ce que je fis et renvoyai le plan. Le propriétaire m’écrivit : « je suis émerveillé de la précision du travail de sourcier à distance. J'ai eu sur place deux sourciers réputés qui m'ont donné les mêmes indications que vous ».
Il y a quelques années, je reçus un plan d'un géomètre arpenteur, se rapportant à un terrain situé à 2.000 miles de distance et il me demandait de lui indiquer des emplacements. Ce que je fis et lui retournait le plan. Je fus alors prié de survoler la région, pour vérifier les emplacements que le géomètre avait jalonnés suivant mes indications. Tout fut trouvé correct, bien que les jalons fussent soigneusement dissimulés.
Une méthode peu ordinaire
J'avais utilisé une méthode peu courante pour travailler sur le plan du géomètre.
Sur le plan, un creusage avait été marqué et nommé. Je me rendis sur un terrain découvert (tout différent) et par convention mentale je me dis que ce terrain représentait la région du plan. Je pris un tronçon d'arbre pour représenter le creusage et j'opérai comme si j'étais sur le terrain réel. Ma baguette me conduisit à un point que je marquai, après quoi à un autre point que je marquai également. Je pris les repères géométriques que je reportai sur le plan.
À noter que rien du terrain où il avait opéré par convention mentale n'avait interféré avec la propriété se trouvant à 2.000 miles de là.
Il m'est arrivé de prospecter sur plan jusqu'à des 7.000 miles de distance et de situer les emplacements qui concordaient avec ceux, trouvés par un sourcier local.
À propos de pétrole
Il est à observer qu'en Australie des millions de dollars ont été dépensées en recherches infructueuses par les ingénieurs et que cependant il y a du pétrole, probablement plus qu'aux Etats-Unis.
Les sourciers consultés ont été unanimes à décourager les forages entrepris aux endroits peu intéressants comme « quantités ». Et l'absence de pétrole à ces lieux de forage inutiles a toujours aussi été prédite par la lecture sur plan !
H. 0. Busby, ingénieur civil
COWRA
N.S.W.
Australie
Sans aucune carte géographique, sans aucun plan, travaillant donc sans plan, me représentant dans l'esprit « un terrain », il me sembla qu'il devait y avoir là l'emplacement d'une source d'eau magmatique s'élevant d'une grande profondeur, à 300-400 yards (1 yard = 0,914 mètre)) au sud-est de son forage, et d'une section circulaire de 3-4 yards.
Je lui écrivis en lui donnant ces détails. Il me répondit qu'il avait repéré la source, à 400 yards au sud-est de sa maison et qu'elle avait 4 yards de diamètre.
Je cherchai ensuite un possible gisement de pétrole dans son voisinage. Je crus en trouver un à environ 250 yards de sa maison, au sud, étagé sur cinq nappes. Je lui adressai ces renseignements avec quelques informations sur la façon de se servir de témoins. Il me répondit qu'il utilisait un pendule creux chargé de pétrole, qui oscillait d'avant en arrière jusqu'à ce qu'il arrive à 250 yards et qui alors se mit à girer rapidement. Il fut capable de repérer les cinq nappes.
Je pris alors seulement une carte de cette région et cherchai un gisement de pétrole dans le rayon de sa ville. Je localisai trois lieux d'importance variable, et en différentes nappes. Je lui dis qu'il semblait qu'il y ait un large gisement à huit nappes, à environ un mile (1609 mètres) d'une ligne de chemin de fer, au croisement, d'un ruisseau d'eau salée, au Nord-Ouest de ce chemin de fer. Il me répondit qu'il avait pu se rendre dans cette région et qu'à un mile et vingt yards il tomba sur le gisement à huit nappes. Il me donna la profondeur probable de chaque nappe et le pourcentage de pétrole de chacune avec sa pression estimée.
Depuis ce sourcier travaille toujours sur plan avant d'aller sur place, ce qui lui donne des résultats précis.
Sur plans de propriété
Il y a quelques années, une relation m'envoie un plan de sa propriété, avec comme repères une porte et un arbre. Et il me demande de lui indiquer où il y avait de l'eau. Je travaille sur ce plan et lui indique l'emplacement par rapport à chacun des points donnés, lui disant que l'eau semblait couler vers le nord. Il me répond que lui-même et d'autres sourciers avaient localisé de même et que tout concordait. Il me dit aussi qu'un des sourciers avait trouvé la veine sous sa maison et qu'elle semblait couler vers le nord. Je n'étais jamais allé dans cette région.
Un autre plan de propriété me fut envoyé d'une région inconnue de moi avec prière d'indiquer l'emplacement de l'eau. Ce que je fis et renvoyai le plan. Le propriétaire m’écrivit : « je suis émerveillé de la précision du travail de sourcier à distance. J'ai eu sur place deux sourciers réputés qui m'ont donné les mêmes indications que vous ».
Il y a quelques années, je reçus un plan d'un géomètre arpenteur, se rapportant à un terrain situé à 2.000 miles de distance et il me demandait de lui indiquer des emplacements. Ce que je fis et lui retournait le plan. Je fus alors prié de survoler la région, pour vérifier les emplacements que le géomètre avait jalonnés suivant mes indications. Tout fut trouvé correct, bien que les jalons fussent soigneusement dissimulés.
Une méthode peu ordinaire
J'avais utilisé une méthode peu courante pour travailler sur le plan du géomètre.
Sur le plan, un creusage avait été marqué et nommé. Je me rendis sur un terrain découvert (tout différent) et par convention mentale je me dis que ce terrain représentait la région du plan. Je pris un tronçon d'arbre pour représenter le creusage et j'opérai comme si j'étais sur le terrain réel. Ma baguette me conduisit à un point que je marquai, après quoi à un autre point que je marquai également. Je pris les repères géométriques que je reportai sur le plan.
À noter que rien du terrain où il avait opéré par convention mentale n'avait interféré avec la propriété se trouvant à 2.000 miles de là.
Il m'est arrivé de prospecter sur plan jusqu'à des 7.000 miles de distance et de situer les emplacements qui concordaient avec ceux, trouvés par un sourcier local.
À propos de pétrole
Il est à observer qu'en Australie des millions de dollars ont été dépensées en recherches infructueuses par les ingénieurs et que cependant il y a du pétrole, probablement plus qu'aux Etats-Unis.
Les sourciers consultés ont été unanimes à décourager les forages entrepris aux endroits peu intéressants comme « quantités ». Et l'absence de pétrole à ces lieux de forage inutiles a toujours aussi été prédite par la lecture sur plan !
H. 0. Busby, ingénieur civil
COWRA
N.S.W.
Australie
Je constate que depuis que je pratique «Express-Succès» je ne trouve plus le nombre personnel et secret qui me serait favorable, tel ou tel jour. Sans doute est-ce signe que cela n'est plus nécessaire ?
- Les deux systèmes d'abduction de forces favorables n'ont rien d'incompatible ! Mais dès que votre astralité (votre aura) est... tonifiée (nous ne trouvons pas d'expression plus convenable), vous n'avez plus besoin d'une aide extérieure.
- Dans ce cas, en effet, vous ne trouverez plus de nombre personnel pour la journée.
- D'ailleurs, la pratique assidue du nombre secret, seul, conduisait au même résultat : après quelque temps, on obtenait toujours le même nombre et un beau jour... plus rien.
- C'est signe que la forme la meilleure était atteinte. Tant que cette forme a besoin d'un courant de soutien, vous trouverez le nombre personnel, même en pratiquant Express-Succès.
La nuit, tous les pendules sont verts…
Il s'agit bien sûr d'une boutade, mais…
- Si vous faites des recherches tard le soir ou même la nuit, vous obtiendrez souvent de meilleurs résultats en vous servant d'un pendule de couleur verte.
- À défaut d'un pendule vert, un ruban vert (ou un morceau de papier vert) placé près du témoin vous donnera à peu près la même sensibilité qu'un pendule vert.
- Il semble que ce soit Henri Mager qui ait le premier attiré l'attention sur les avantages des baguettes vertes, des pendules verts, et de la couleur verte (vert pomme) pour faciliter les détections de nuit, surtout à distance.
LA RADIESTHÉSIE EN IMAGES
C.I.E.R - Centre d’Initiation et d’Études Radiesthésiques
présente
LA RADIESTHÉSIE PAR L’IMAGE
montage, réalisation et commentaires d’Alfred Vandenhoff
4. La première chose à connaître est l’électromagnétisme dont la preuve nous est fournier par cet aimant en forme de fer à cheval. Le pendule tenu au-dessus des pôles, tout comme la boussole, nous permet de distinguer le pôle nord du sud.
5. Pour cette raison, ce cliché-ci nous montre le fluide magnétique émanant du bout des doigts.
Fluide positif pour la main droite d’un droitier, de même que pour la main gauche d’un gaucher.
6. Voici trois croquis qui montrent, de haut en bas, la baguette tenue en équilibre instable et
légèrement relevée, la baguette qui se relève et enfin, la baguette abaissée.
légèrement relevée, la baguette qui se relève et enfin, la baguette abaissée.
7. Le radiesthésiste à sa table de travail. Une règle graduée et, de chaque côté,
un aimant en fer à cheval qui amplifie le champ de rayonnement de la règle.
On place les témoins à mesurer au centre de ces aimants.
un aimant en fer à cheval qui amplifie le champ de rayonnement de la règle.
On place les témoins à mesurer au centre de ces aimants.
8. Nous voyons ici le radiobiomètre de l’ingénieur Voilaume qui sert à mesurer la radiation émisepar une plante au moyen d’un aimant. Le ressort (self) partant de la règle amplifie son rayonnement.
9. Ici, nous voyons un grand oscillant. Le témoin placé au centre est relié à un cordon testeur.
10. Sur un disque gradué en degrés (360°),
le radiesthésiste mesure ici ce qu’on qualifie de rayons fondamental.
le radiesthésiste mesure ici ce qu’on qualifie de rayons fondamental.
11. Ce croquis nous montre un pendulisant désignant de la main gauche désignant
une pomme de la main gauche tandis que, de la main droite, il enregistre la giration positive de son pendule.
12. Nous voyons sur le premier croquis que le pendule reste immobile sur la ligne de mesure
parce qu’il n’est pas en face de l’objet caché. Sur le second, le pendule oscille violemment
sur la ligne de mesure en indiquant l’endroit où se trouve l’eau dissimulée par l’écran.
L’opérateur tient un témoin d’eau dans la main pendulisante.
sur la ligne de mesure en indiquant l’endroit où se trouve l’eau dissimulée par l’écran.
L’opérateur tient un témoin d’eau dans la main pendulisante.
13. L’opérateur se fait une représentation mentale d’une fourchette.
Lorsqu’il arrivera sur l’objet en question, le pendule oscillera en direction de cet objet.
14. I. Schéma d’une eau jaillissante entourée de ses lignes de force.
II. Le baguettisant mesure les différentes lignes de force définissant le rayonnement de cette source.
15. Le demi-cercle gradué est souvent utilisé pour les études et recherches les plus diverses, une série de cercles servent d’amplificateurs.
16. On peut également utiliser une règle partant d’un cercle, où poser le témoin,
et aboutissant à un secteur de mesure.
17. Échelle en degrés sur un demi-cercle, allant de 0 à 180 dans les deux sens.
Les deux cercles supérieurs syntonisent avec le nord magnétique et permettant à l’opérateur
de faire des mesures correctes quelle que soit son orientation.
de faire des mesures correctes quelle que soit son orientation.
18. Les 12 cercles concentriques forment l’amplificateur le plus efficace pour rechercherle nombre idéal et quotidien d’un sujet. On commence par les unités de 0 à 9 et on poursuiten cherchant les dizaines. Exemple : pour trouver le nombre 75, l’opérateur trouvera d’abord le nombre 5,
puis 70 en deuxième mesure.
19. Voici un graphique utilisé pour mesure l’acidité. Si le pendule oscille sur une mesure entre 4 et 7,
la matière analysée sera dite « acide », à droite entre 7 et 10, elle sera dite « base ».
20 . Voici une planche de recherche en astro-radiesthésie.
Elle rassemble tous les éléments correspondants aux planètes.
21. Ce cadrant permet de saisir la nature des réactions d’un individu par rapport à une influence.
Il faut placer les témoins au centre, sur les cercles concentriques.
22/23. Ce cadran permet de situer un trouble physique à partir d’une carte d’iridologie,
toute anomalie restant inscrite dans l’œil sous forme de taches.
24. Graphique d’un oscillateur dessiné par la colonel Stevelinck.
Les deux pointes blanches font office d’éclateur des énergies émanant des nombreux circuits oscillants.
25. Boussole radiesthésique - Graphique Servranx n° 29.
La croix à 270° fera réagir le pendule en présence d’ondes nocives.
La croix à 270° fera réagir le pendule en présence d’ondes nocives.
26. Voici les écrans colorés en verre imaginés par le Dr Leprince.
Fragiles, ils ont été remplacés par des écrans en celluloïd qui étaient inflammables.
Depuis 1980, les éditions Servranx suivent les conseils des éclairagistes de cinéma et de théâtre
dont les filtres colorés résistent à la chaleur de lampes de plusieurs milliers de watts.
Fragiles, ils ont été remplacés par des écrans en celluloïd qui étaient inflammables.
Depuis 1980, les éditions Servranx suivent les conseils des éclairagistes de cinéma et de théâtre
dont les filtres colorés résistent à la chaleur de lampes de plusieurs milliers de watts.
27. Voici comment obtenir de l’eau colorée (c’est-à-dire chargées du rayonnement de la couleur),
sour l’effet d’une source lumineuse venant du haut.
sour l’effet d’une source lumineuse venant du haut.
28. Voici des accus planétaires qui servent de témoin aux planètes
lors de transmission de leurs vibrations à un sujet.
29. Manière correcte de tenir un pendule.
30. Autre manière de tenir le pendule et présentant l’avantage d’une meilleure transmission
de la sensation ultra-subtile de l’opérateur lorsqu’il fait une recherche.
31. Appareil d’analyse. Il s’agit d’un T de géométrie.
De petites encoches permettent de recevoir des éprouvettes contenant les témoins.
Trois rondelles de cuivre disposées sur la longueur de la règle sur lesquelles l’opérateur
mesure la valeur des témoins.
De petites encoches permettent de recevoir des éprouvettes contenant les témoins.
Trois rondelles de cuivre disposées sur la longueur de la règle sur lesquelles l’opérateur
mesure la valeur des témoins.
32. Deux flacons à analyser sont disposés sur les rondelles de cuivres des extrémités.
Le pendule sera tenu au-dessus de la pièce centrale.
33. Autre façon d’analyser un produit simultanément.
34. Il n’y a pas d’âge pour faire de la radiesthésie.
Cette jeune fille analyse deux tubes témoins par rapport à un dessin qu’elle regarde.
Cette jeune fille analyse deux tubes témoins par rapport à un dessin qu’elle regarde.
35. Exercice sur le terrain. Au centre d’un cercle délimité par des bâtonnets numérotés,
l’opérateur recherche l’orientation précise d’un objet caché.
36. Les cours peuvent aussi être donnés sur le terrain.
Des opérateurs en herbe testent les réactions d’une baguette de sourcier en compagnie de leur professeur.
37. Bravo ! L’opérateur se dirige dans la bonne direction.
38. Humour ! L’opérateur sait où piocher… Le chien aussi !
Mais comment ont-ils trouvé ce qu'ils cherchent et… cherchent-ils la même chose ?
Mais comment ont-ils trouvé ce qu'ils cherchent et… cherchent-ils la même chose ?
Les chiens policiers cherchent le nez au sol et non le nez en l'air. N'existe-t-il pas un instrument de radiesthésie qui soit plus près du sol que la baguette ou le pendule ?
Les pendules du siècle dernier avaient couramment 80 cm à 1 m de longueur de fil ou de chaînette. Ils étaient aussi plus lourds, minimum 80 à 150 gr. Peut-être en recherches de disparus mériteraient-ils d’être repris, pour détecter plus facilement les traces au sol ? L'ennui, c'est la lenteur majestueuse de ces longs pendules, et le temps nécessaire au démarrage ! Dans l'entre deux guerres, un chercheur français avait mis au point une baguette très longue, plus d'un mètre si nos souvenirs sont bons, inclinée vers le sol. Les résultats ? Excellents pour l'inventeur et ses quelques disciples. Le procédé n'était pas très commode. On pourrait peut-être enrichir l'extrémité d'une baguette d'un cordon ou d'une chaînette pendant à quelque 20 cm du sol. Mais si le chien policier opère le nez au sol, les pigeons voyageurs s'élèvent à 300-600 m pour retrouver leur direction, et l'on prospecte fort bien du haut de la Tour Eiffel, et même en avion !
Recherches à buts personnels
On entend dire souvent qu'il est plus difficile de « trouver » pour soi que pour d'autres. Rien ne justifie cette idée.
Mais ce qui est bien démontré, c'est qu'il est difficile de s'abstraire de son “ambiance” physique et mentale.
Pour mieux réussir des recherches à but personnel il est à conseiller :
Mais ce qui est bien démontré, c'est qu'il est difficile de s'abstraire de son “ambiance” physique et mentale.
Pour mieux réussir des recherches à but personnel il est à conseiller :
- 1. De procéder à la recherche en se servant d'un témoin de soi, - une photo peut faire l'affaire, - tout à fait comme si l'on opérait pour quelqu'un d'autre, d'inconnu.
- 2. S'il s'agit de rechercher les influences du sol, l'existence possible d'ondes nocives, au lieu de « chercher sur place», on cherchera sur plan, tout à fait comme pour une maison au loin.
- 3. Et si c'est possible, on opérera à distance, en dehors de son milieu habituel.
Un problème ? Considérez-le comme résolu !
- Vous vous êtes chargé de rechercher un disparu. Mais vous tâtonnez et cela s'annonce mal. Essayez de supposer le problème résolu.
- Prenez une grande feuille de papier, sur laquelle vous ferez un point au crayon : la personne est là. Partant de ce point, cherchez la direction de la rue, et le côté de la rue, la proximité d'une église, d'une ligne de chemin de fer, d'un cours d'eau. «Construisez» légèrement au crayon d'après les réponses de votre pendule le voisinage : est-ce qu'il y a des magasins dans les environs ? Un garage ? Un ou des cafés ?
- Quand vous aurez de nombreux éléments, - cherchez alors dans quelle ville se trouve ce coin. Vous aurez plus de chance de retrouver ainsi exactement la ville, et dans cette ville l'endroit précis. Vous pourrez aussi fournir de précieux points de repère à vos consultants.
Droits du consommateur : délai de rétractation légal de 14 jours.Nos prix sont TVA incluse hors frais d'envoi et de paiement.